La promesse d’un corridor de plus de 1000 km, drainant plus de 75% des activités économiques de l’espace Cédéao, formulée il y a presque deux décennies par la Côte d’Ivoire, le Ghana, le Togo, le Bénin et le Nigeria, n’a toujours pas été tenue, estime Jeune Afrique qui publie cette semaine un reportage consacré à cette axe stratégique.
En dépit d’importants investissements réalisés par la Banque mondiale et de la BAD, la complexité de ce projet transfrontalier rend son efficacité difficile.
Jeune Afrique N°2903