L’Association togolaise pour le bien être familial (ATBEF), créée il y a plus de 40 ans, est active dans le domaine de la planification familiale et de la lutte contre la mortalité infantile et maternelle.
Ses groupes cibles sont les jeunes de moins de 25 ans, les personnes déplacées, les femmes en âge de procréer, les prostituées, les personnes vivant avec le sida, les enfants de la rue, les drogués et plus généralement les populations marginalisées.
Elle bénéficie d’un appui financier de Plan Togo, de l’Unicef, du PNLS et du Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme.
Son travail est exemplaire et ses recommandations sont des outils précieux pour le gouvernement.
Mais les responsables de cette association estiment qu’il faut aller plus loin. Ils étaient vendredi face aux députés. Un plaidoyer en faveur du développement des services de santé et de l’assistance à ceux qui en ont besoin.
Au moment où l’Assemblée examine le projet de loi de finances, l’ATBEF entend obtenir un engagement fort des élus en matière de dotations pour le secteur de la santé.